Le Botswana dispose d’une autre curiosité naturelle que l’on ne trouve pas dans les pays voisins, les pans. L’ensemble du Makgadikgadi pans est en fait le désert de sel laissé par un grand lac salé d’environ 5000km2. A la saison sèche on ne voit qu’une croûte d’argile fissurée a perte de vue, entourée par du désert de sa le et d’herbe, pas où peu d’animaux. Au retour des pluies tropicales, le lac se rempli d’un petit niveau d’eau. C’est le retour des mammifères, gnous et surtout zèbres lors d’une grande migration qui attire aussi les fauves…
Pour nous y rendre on plante la tente à Gweta, petit village tranquille et poussiéreux, où se trouve le Gweta Lodge. Avec leur équipe nous partons en 4×4 à la conquête du désert de sel. La piste se subdivise en un milliers de traces. On fait un stop au pied d’un magnifique baobab, énorme, mais bien moins gros que le Chapman Baobab mythique, non loin de là, hélas tombé récemment après plus de 1000ans d’existence.
Nous faisons un stop aux abords du pan pour rejoindre un homme au métier bien particulier, il suis les suricates ! Et oui, une colonie de suricates à élu domicile ici et il les suis de loin tous les jours pour savoir où il sont. Habitués à sa présence il nous permet maintenant de les approcher sans qu’ils n’aient peur. Les suricates sont très craintifs, avec un surveillant toujours à l’affût et il est très difficile de les apLe Botswana dispose d’une autre curiosité naturelle que l’on ne trouve pas dans les pays voisins, les pans. L’ensemble du Makgadikgadi pans est en fait le désert de sel laissé par un grand lac salé d’environ 5000km2. A la saison sèche on ne voit qu’une croûte d’argile fissurée a perte de vue, entourée par du désert de sa le et d’herbe, pas où peu d’animaux. Au retour des pluies tropicales, le lac se rempli d’un petit niveau d’eau. C’est le retour des mammifères, gnous et surtout zèbres lors d’une grande migration qui attire aussi les fauves…
Pour nous y rendre on plante la tente à Gweta, petit village tranquille et poussiéreux, où se trouve le Gweta Lodge. Avec leur équipe nous partons en 4×4 à la conquête du désert de sel. La piste se subdivise en un milliers de traces. On fait un stop au pied d’un magnifique baobab, énorme, mais bien moins gros que le Chapman Baobab mythique, non loin de là, hélas tombé récemment après plus de 1000ans d’existence.
Nous faisons un stop aux abords du pan pour rejoindre un homme au métier bien particulier, il suis les suricates ! Et oui, une colonie de suricates à élu domicile ici et il les suis de loin tous les jours pour savoir où il sont. Habitués à sa présence il nous permet maintenant de les approcher sans qu’ils n’aient peur. Les suricates sont très craintifs, avec un surveillant toujours à l’affût et il est très difficile de les approcher à l’état sauvage. Ainsi nous contemplons deux bestioles à la recherche de nourriture, nous ignorant complètement et prenant la pose régulièrement devant le coucher du soleil…
On roule quelques centaines de mètres et nous voilà sur le Nwetwe Pan, qui s’étend à perte de vue. A notre grand désespoir la saison des pluies a commencé et il est maintenant trop tard pour pouvoir camper dessus à la belle étoile comme beaucoup le font.
Apero sur le désert alors que l’orage commence à gronder de moins en moins loin, on rentre donc alors que les gouttes tombent, rain is coming…