La voici, l’infernale la bruyante Delhi. Quel capharnaüm, un bon moyen de rentrer directement dans la vie indienne et sa folie…
Pas facile d’arrivée déjà à bon port, en effet, lorsque vous tombez sur un taxi (et ils sont nombreux) qui préfère vous emmenez dans l’hôtel de son choix, plutôt que dans le votre, vous ne pouvez pas faire grand chose. Surtout quand on ne connait pas la ville, qu’il est 2h du matin et que toutes les rues vous paraissent inquiétantes. Les indiens sont… pénibles. Pour réussir à s’imposer il faut un minimum de connaissances du pays je pense et surtout ne pas avoir peur. Il ne pourra pas vous arrivez grand chose dans tous les cas, au pire une bonne engueulade avec vos interlocuteurs, mais sachez qu’ils feront tout pour vous ammener là où il pourront se faire un peu de commission sur votre dos. On ne peut pas les blâmer, mais comment expliquer que des fois, on préférerait laisser un bon pourboire pour une bonne prestation dans pépin, plutôt qu’il touche une commission sur 2h de débat et d’engueulade…
Bref, Delhi, la première comme la seconde fois que nous y passerons (et donc la seconde fois avec de l’expérience), on aura pas réussi à se faire emmener là où on le voulait.
Une fois arrivé à bon port, et pour cela je vous conseille donc la fameuse rue Paharganj près de la gare, qui regorge d’auberge plus ou moins miteuses, mais au moins vous ne serez pas perdus car il est facile d’y prendre ces repères et d’y organiser son séjour, ses visites. Celles-ci sont nombreuses à Delhi, de Caunaught Place, aux différents mausolées, puis dans les différents parcs etc… mais rien n’est plus impressionnant que de prendre un tuk-tuk et de ce balader par delà les marchés et les différentes places animées. C’est là que l’appareil photo fume…