Ca y est, après quelques exercices de logistiques et un peu d’attente, j’ái récupéré Marjolaine à l’aéroport ! Qui n’a pas son sac hélas celui-ci s’étant perdu dans l’une des deux escales… ô joie !
À priori ils sont cencés nous le livrer à l’adresse qu’on leur transmettra, on décide donc de partir de Lima qui ne présente pas bcp d’intérêt pour prendre la route de la côte.
Peu après Lima on rejoint la cote. Et là, c’est le sable, tout bascule. Du sable du sable des dunes. A perte de vue. Nous arrivons à Pisco et prenons directement un taxi pour Paracas puisque depuis le dernier tremblement de terre Pisco a perdu tout don charme et que Paracas est le point de départ pour les îles Ballestas.
C’est un petit village de bord de mer, quelques ruelles avec des restau et des agences de tourisme pour des tours aux îles, ou en VTT, buggie ou quad dans la réserve, à quelques km de là. Paracas est surtout connue pour la visite des îles Ballestas…
Avec 2 autres français rencontrés lors d’un partage de taxi, nous prenons des vtt et hop, direction la Reserva. Il s’agit, oui ok du désert, mais du désert se jetant dans la mer en formant de magnifiques plages sauvages d’un rouge parfois…rougeoyant.
On a l’impression d’être au milieu du Sahara, la panaméricaine rectiligne fend les dunes et les gros trucks qui traversent le pays se découpent dans le sable à l’horizon. Quelques péruviens possèdent encore quelques vieilles voitures américaines ou de vieilles coccinelles. Simplement garées dans le désert et on se croirait dans décors de film.